Ecole Pecq

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Des collations saines

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Soupe offerte pour tous les élèves de la section maternelle

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Bonne rentrée,

Bonne rentree 2023-2024 PECQ 

 

Mme Amandine et toute son équipe

Contact

Mme Amandine Bully

Directrice

Rue de la Clergerie 14

7740 Pecq

Gsm : +32(0)497/24 59 05

Tél. : +32(0)69/55 71 16

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Historique

L’école paroissiale de Pecq.

Les premiers pas…

L’école primaire des filles au couvent de Pecq date de la rentrée de Pâques 1865. Pour la diriger, Monsieur l’Abbé Mouton, alors curé de la paroisse, Messieurs Dujardin et Lambrain avaient fait appel à des Sœurs de Notre-Dame de Namur. Cinq religieuses arrivèrent et s’installèrent à Tournai.

 

En 1872, elles achetèrent, à proximité de l’église une maison appartenant à Monsieur Delplanque. Elles firent construire par la suite le bâtiment latéral qu’occupa Monsieur l’Abbé Dubois (directeur du couvent).

 


crbst gallezAu mois de mars 1899, l’externat sera alors séparé du pensionnat et installé dans un établissement édifié par les soins de l’Abbé Mouton. L’externat avait 3 classes dont une payante,
une gratuite et une école gardienne mixte. Il était financé par la Maison Mère de Namur et quelques bienfaiteurs de la localité. Un comité et l’œuvre de Saint-François de Sales payaient annuellement l’intérêt de l’achat de la maison Delplanque.

 

La direction de la maison passa successivement aux mains de Sœur Agnès du Saint-Sacrement, des sœurs Marie-Joseph, Marie-Angélique, Cécile et Thérèse. Les sœurs de
Notre-Dame,
qui étaient très estimées et aimées dans la commune pour leur grande bonté et leur dévouement, continuèrent leur mission à Pecq jusqu’en août 1894.

Elles furent alors appelées à travailler dans de plus grandes maisons. En juin de la même année, Monsieur l’Abbé Gallez, nouveau curé, contacta les sœurs de la Providence de
Saint-Jean Bassel (en Lorraine) en vue de la succession. Ces dernières acceptèrent et arrivèrent à Pecq le 23 septembre.

crbst soeur 20hanslemanLa rentrée des externes eut lieu le 30. Le même jour, Monsieur le curé fit distribuer 110 pains de Saint-Antoine aux enfants… Après un examen sommaire des élèves, la Supérieure,
Sœur Thomas d’Aquin-Callais, présida au classement. L’école compte deux classes primaires et une classe gardienne. Sœur Thomas d’Aquin-Callais s’occupa du degré supérieur,
Sœur Marguerite Violent du degré moyen et Sœur Françoise Hanselman de la classe gardienne.

En automne 1895, le degré supérieur fut séparé du degré moyen et on créa une troisième classe primaire. Les titulaires des degrés moyen et inférieur furent alors respectivement Sœur Marguerite Violent et Sœur Marie de l’Enfant Jésus-Mathias. L’année suivante, Sœur Marie-Félicia Boekler remplaça Sœur Françoise comme directrice de l’Ecole Gardienne.

Le nombre des enfants augmentant sans cesse, l’agrandissement des locaux devint une nécessité. On projeta alors de construire une école primaire et gardienne avec cour et dépendances. Le 26 juillet 1897, la première pierre fut posée. Les travaux se poursuivirent pendant les vacances, si bien que le 11 novembre, l’école gardienne pouvait s’installer dans le nouveau local. Cette classe fut placée sous le patronage de Saint-Martin. Le degré moyen l’y suivit le 08 décembre et fut classe de Sainte-Marie.

Enfin la veille de Noël, le degré inférieur (classe Enfant-Jésus) prit aussi possession de son local. Le degré supérieur, seul, reste dans les anciens bâtiments jusqu’en 1903. En novembre 1898, Sœur Marie-Angèle Klech remplaça Sœur-Marie de l’Enfant-Jésus à la direction du degré inférieur. Le 29 juin 1899, Monsieur l’Abbé Gallez fut appelé à s’occuper de la paroisse Saint-Nicolas à Mons. L’abbé Bastin le remplaça dans notre école paroissiale.

  Pecq rue de courtrai1918    crbst pecqguerre

 Puis ce fut la guerre… Les heures sombres arrivaient… Le 23 décembre 1914, Monsieur l’Abbé Monvoisin est nommé curé de Pecq. En juillet 1915, il faut un laisser-passer pour traverser le pont. Plusieurs élèves de l’école habitent Hérinnes ou Obigies… Et ne viennent donc plus à l’école. Le 03 novembre 1916, 220 réfugiés de Liévin nord arrivent à Pecq. Une vingtaine d’enfants grossissent les rangs de l’école paroissiale et sont ravitaillés par les religieuses.

 Le 12 février 1917, on ferme les écoles sur ordre. Les classes reprennent le 16 avril, mais il y a des manquants. Le 24 mai, Monsieur le Curé est emprisonné à Tournai. Il reviendra le 2 juin 1918. Le 9, les allemands occupent l’école. Puis, ce seront l’évacuation et les bombardements. Les religieuses reviennent en janvier 1919 et reprennent les cours au château de Bourgogne. Sœur Augusta-Marie, Sœur Françoise de Saint-Joseph et Mademoiselle G. Estienne donnent cours aux enfants du village dans les sous-sols du pensionnat bombardé. Elles logent dans la salle au pain et retournent chaque semaine au château pour chercher des provisions. Les enfants fréquentent les cours régulièrement. Mademoiselle Julia Manche est nommée maîtresse gardienne et fait aussi la classe dans un des locaux du sous-sol. C’est à cette époque que Monsieur Delsaut, inspecteur cantonal, travaille le quatrième degré régional.

Visites Royales
En février 1920.

Saint-Martin.

 Chaque année, le dimanche proche de la Saint-Martin (11 novembre), les paroissiens de Pecq honorent et prient leur Saint patron lors de l’Eucharistie suivie d’une procession dans les rues du village.

 Dans l’empire romain devenu chrétien de par l’édit de Milan, Saint-Martin fut sans doute une figure des plus importantes de l’évangélisation de la Gaule. Soldat de l’empire romain par tradition familiale, Martin vit les valeurs radicales de l’évangile,… Dès qu’il a accompli ses obligations militaires, Martin fonde des ermitages et les premières communautés monastiques de Gaule. Saint Martin connu pour son témoignage de vie toute donnée au Christ et aux plus pauvres est forcé par les communautés chrétiennes locales de prendre la charge pastorale d’Evêque,… Bien avant Saint-François, Saint-Martin, par son exemple de vie pauvre et bienveillante, sera rayonnant et évangélisateur de la Gaule.

crbst saint-martinSaint-Martin est toujours représenté partageant son manteau qu’il tranche de l’épée avec un pauvre qu’il rencontre lors d’une tournée de garde. Il n’aurait pas pu donner puisque la moitié du manteau appartient à l’armée romaine,…

Vous pourrez découvrir les détails de sa vie sur le site de : Vie de Saint-Martin

A Pecq, chaque année, la messe dominicale la plus proche de la fête de Saint-Martin, le 11 novembre, est suivie de la procession de la statue du Saint Patron de la paroisse. Saint-Martin, accompagné de quelques compagnons d’armes, avance à cheval en tête de la procession. La      statue, portée par 4 solides paroissiens et les enfants de l’école paroissiale Saint-Martin, chacun tenant un ruban.

 En présence du célébrant et des acolytes, les fidèles chantent en invoquant Dieu et Saint-Martin,… A l’issue de la procession, Saint-Martin distribue, à la salle paroissiale, des morceaux de sa cape, symbole du partage,… En signe que nous sommes tous appelés à partager nos biens, notre temps et nos efforts au service de tous, en particulier des plus faibles. Comme pour toute fête, nous nous retrouvons ensuite pour le verre de l’amitié et les agapes paroissiales,…